Un été 23 très vert dans la petite vallée.

Une sélection d’images de la cabane semi enterrée au vrai pays des Hobbits

Quelques images des veillées sur le gite de la cabane des Raspes.

A l’heure où les habitants de la forêt se reposent, c’est la veillée sur le vallon, sur la terrasse ou à l’intérieur, certains de nos hôtes ont passé des soirées à faire de la lecture partagée, des jeux, des repas interminables, de la méditation avec les bruits des chouettes, de quelques chevreuils remontant les pentes, les étoiles sont très présentes et l’observation des constellations est de mise. Il nous faudra y penser et acquérir un manuel pour bien s’y retrouver dans tout ce blanc de la voie lactée.

Important

La cabane est équipé d’un panneaux solaire. Il y a un certain confort qui en définitive nuit aux amateurs du sentiment d’aventure. Je peux débrancher la batterie et mon séjour sera déconnecté. A la lampe tempête et à la bougie comme ci dessus. C’est une autre dimension, un rythme calé sur la nature. C’est au choix. Mais j’ai souvent apprécié un séjour sur place « à l’ancienne ». Il faut se projeter et cuisiner à la fin du jour. Prendre un maximum de la lumière tardive du soleil pour faire le nécessaire du soir. Cuisine, douches, etc.

C’est le renouveau à la cabane des Raspes. Un mode sauvage en pleine activité. Les deux champs de foins ont été fauchés et ont a conservé un peu de ce massif aux abords du gite. Donc des fleurs et des abeilles sauvages.

Une petite maison dans la prairie après la fauche.Le plein de soleil sous le chêne près de la la forêt de sapins.

Tout en haut du deuxième champ, on tombe peut être sur l’arbre d’Alice (a wonderland) . Sinon vous pourrez vous consoler sur la terrasse à compter les étoiles sous la lune.

A moins de 20 min, se situe un des lacs du Lévezou, Le lac de Pareloup c’est la 5^e plus grande retenue d’eau artificielle de France et la deuxième du sud de la France. A 800m d’altitude, c’est fraicheur, et forêts d’épicéa. 130 km de côtes et des activités comme le dériveur, la planche.

Des plages très sympas avec du sable, du gazon, des jeux de plein air et la cabane du maître nageur, des endroits plus sauvages où la tranquillité bucolique vous donne rendez vous.

Possibilités de faire quelques courses à Salles Curan, de bonnes tables sont aussi disponibles. Une journée verte à programmer.

La Vallée du Tarn est à coup sur: le véritable pays des Hobbits.

Et si la comté de Tolkien était déjà là, dans cette vallée ? Si nous avions ce voile sur la vue qui nous ôte toute perception des énergies de nos bois et de nos forêts.

1000 petites habitations sont disséminées sur tout ce territoire en bordure des champs et des forêts, des vignes et des chemins. bordé au sud par le Larzac et les calcaires de Roquefort, le fameux rougier de Camarès, à l’est par les gorges du Tarn, de La Jonte, de La Dourbie, et les grands causses. Et enfin à l’ouest cette vallée du Tarn sauvage et belle qui serpente jusqu’à Albi et au nord les terres d’en hauts et des lacs, le plateau du Levezou, Salles Curan, Pareloup.

Même certains se nomment par ici encore Sacquet, c’est pour dire. C’est donc une profusion de petites cabanes de pierre pas forcément troglodytes mais comme la cabane des Raspes taillés dans le rocher qui représente plus de la moitié des cloisons extérieures. Donc, ici nous sommes dans une maison semi enterrée.

Ce pays est très découpé et très diversifié sur un point de vue paysages. Des causses aux forêts de conifères d’altitudes jusqu’à des mamelons de type alpins et des passages méridionaux autour des rivières avec de la vigne et des cigales. Rares sont les endroits présentant autant de palettes sur un rayon de 50km.

Voici un exemple avec les causses en fond, nous retrouvons deux maisons d’anciens hobbits ci dessous. Elles sont abandonnées depuis des temps anciens et certaines sont en malheureusement en ruines.

Alors, venez découvrir et habiter dans une vrai maison de hobbits.

Sujet librement adapté du bel article des cabanes.com.

Le pays des 1000 cabanes 

L’automne est une saison magnifique, reposante et colorée.

Malgré une lumière devenu moins tonique, la nature est dans une phase de mise au repos. Peu ou pas de vent, pas de bruits, le changement est très perceptible depuis le mois d’Aout. La jasse est hivernée et nous en profitons pour rester au dehors pour les plantations. En espérant que tout résiste à un hiver pas trop rigoureux.

Nous en profitons pour nous griller un peu au soleil doux et nous plonger pour les dernières fois dans le Tarn. Une petite chute de température de 5 à 6 degrés, mais la mi septembre à été très fraiche.

Les champs sont prêts à hiverner et ils ont revêtus une couleur argent. Quelques coup de pinceaux aussi pour protéger les boiseries et lutter contre l’humidité hivernale et les soleils du printemps.

Les conifères demandent une attention particulière si on ne veut pas qu’ils se fassent encorner par les chevreuils.

Avec un peu plus d’isolation et un bon poêle, il doit faire bon au fond des bois. Là, nous désertons la terrasse sud, la terrasse nord doit être déjà trop fraîche. Quelques chaises, une table et un barbecue.

Bon hiver à la forêt.